Je ne sais trop pourquoi le poème de la page 34 m'a instantanément fait penser au Grand Meaulnes d'Alain Fournier, le passage où Meaulnes raconte son aventure, une fois rentré de sa fugue. Je ne sais trop pourquoi, peut-être les granges, l'idée de fuite, les routes effacées, ou bien l'atmosphère particulière qui se dégage du poème, ou peut-être bien les images qui ont jailli dans mon esprit à la lecture du poème, presque similaires à celles qui avaient jailli lors de la lecture du roman d'Alain Fournier. Après relecture plus précise, plus analytique, je me rends bien compte que le poème et le chapitre ont peu de choses en commun mais l'impression est toujours présente... Aux lecteurs de Jacques Vandenschrick et d'Alain Fournier, je poserai la question : suis-je la seule à voir Meaulnes s'approcher de la fête de fiançailles de Franz de Galais dans ce poème ?